• Si la nuit est noire, c'est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars.
    Bill Watterson

    Fond d'écran Halloween en 1024/768

    Fond d'écran Halloween en 1360/768


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  • Au Moyen Âge on croyait que les sorcières étaient capables de se changer en chats noirs.

    Quand un tel chat était vu, il était considéré comme une sorcière déguisée.

    Si l'on entend des pas derrière soi le soir d'Halloween, il ne faut pas se retourner, car cela signifie la présence d'un défunt. Si on le regarde, on mourra au cours de l'année.


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  • Un fond d'écran Halloween en deux résolutions.

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    Fond Halloween en 1024/768

    Fond Halloween 1360/768


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  • Les deux sorcières

    Deux sorcières en colère

    Se battaient pour un balai.

    - C'est le mien, dit la première,

    Je le reconnais !

    - Pas du tout, répondit l'autre,

    Ce balai n'est pas le vôtre,

    C'est mon balai préféré,

    Il est en poils de sanglier

    Et je tiens à le garder !

    Le balai en eut assez,

    Alors soudain il s'envola

    Et les deux sorcières

    Restèrent

    Plantées là !

    Corinne Albaut


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  • L'automne

    Quel charme est répandu sur le monde paisible !

    C'est ici le moment de la réflexion ;

    C'est dans cette aimable saison

    Que la mélancolie inspire un coeur sensible.

    J'irai dans l'ombre des fôrets,

    Dans les bocages toujours frais

    Qui nourrissent ma rêverie,

    Dans les rochers retentissants,

    Dont les échos frappent mes sens

    D'une touchante mélodie :

    Heureux, si j'entends quelquefois

    Une fontaine gémissante,

    Ou la feuille sèche et bruyante

    Que le vent détache des bois,

    Ou le chant languissant d'un oiseau solitaire

    Qui ranime, pour me distraire,

    Le souffle expirant de sa voix ;

    Tandis que les pinsons, les linots, les fauvettes

    Qui, pendant les beaux jours, ont si bien gazouillé,

    Habitants désolés de ces voûtes muettes,

    Se penchent en tremblant sur l'arbre dépouillé !

    Le chevreuil n'est plus sous l'ombrage :

    Le fond de ces berceaux commence à s'éclaircir ;

    Le voyageur s'arrête, en jetant un soupir,

    Dans les bois jonchés de feuillage.

    Adieu nature ! adieu plaisir !

    L'oiseau, conduit par le zéphir,

    Dans des climats plus doux va porter son ramage.

    Déjà les humides brouillards

    Viennent annoncer la froidure ;

    Et le soleil, sur la verdure,

    Va lancer ses derniers regards.

    Nicolas Léonard


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